Empreinte

2012

Sculpture, béton

En creux ou en relief, l’empreinte trace le passage. L’esthétique de l’empreinte est envisagée en tant qu’objet aussi bien que comme un processus pour faire ressurgir la pensée de Georges Didi-Huberman et se jouer de la présence d’une absence. 

Cette rencontre retrace un évènement de manière formelle. A travers la houle et l’écume, le creux et la vague, le temps et l’espace maritime sont ainsi arrêtés aussi bien par le signifié que par le signifiant. Une rencontre de l’histoire à l’art pour réinterroger l’histoire de l’art à travers l’environnement… 

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